dimanche 24 août 2014

BREF APERÇU SUR LES COMBUSTIBLES FOSSILES


BREF APERÇU SUR LES COMBUSTIBLES FOSSILES

       I.          Définitions :

§  Combustible : un combustible est un corps qui dégage de la chaleur lorsqu’on le combine ou on l’associe avec l’oxygène.

§  Fossiles : Il s’agit d’animaux ou des de plantes, qui suite à leur mort sont conservés dans les sédiments.

§  Combustibles fossiles : Ce sont des dépôts de combustibles de l’écorce terrestre  composés des restes

Les combustibles fossiles sont des dépôts des combustibles de l’écorce terrestre composes des restes d’organismes  préhistoriques qui ont existé il y a des millions d’années.

     II.          Types de combustibles fossiles

    Parmi les combustibles fossiles, nous pouvons citer les combustibles ci-après :

Ø  Le charbon ;

Ø  Le pétrole ; et

Ø  Le gaz naturel



1.     LE CHARBON :

C’est un combustible fossile solide de couleur noire composé essentiellement de carbone, d’eau et de traces d’éléments que l’on trouve dans la croute terrestre .IL a été formé à partir des restes de végétaux ou plantes qui vivaient il y a des millions d’années . Le charbon est trouvé en abondance principalement dans l’hémisphère nord, les plus grands gisements se trouvent aux Etats unis, Russie, Australie, Chine, Inde, Allemagne et Afrique du sud.



Variétés de charbons :

·       Le lignite : est un charbon tendre marron noir dont  la texture est ligneuse et douce, elle est souvent utilisée pour alimenter  les centrales électriques.

·       Charbon sous bitumineux : C’est un charbon de qualité intermédiaire entre la lignite et le bitume .Ce charbon a une valeur calorifique relative basse et il contient peut de soufre raison pour laquelle les centrales électriques l’utilise.

·       Charbon bitumineux : Il est dur que la lignite et le charbon sous bitumineux, malheureusement  sa teneur en soufre est élevée et a conséquence de provoquer  de sérieux  problèmes environnementaux, malgré cela les centrale l’utilise toujours parce qu’il produit beaucoup de chaleur.

·       L’anthracite : c’est la meilleure qualité de charbon, il est dur et peut être exposé  à des températures  élevées pendant sa formation.



2.     LE PÉTROLE :

 C’est un mélange hydrocarbure liquide épais de couleur jaune ou noir inflammable que l’on trouve dans la croute terrestre, il s’est formé à partir des restes d’organismes aquatiques microscopiques.

Lors du raffinage du pétrole les composés sont séparés en diffèrent produit selon leur diffèrent point d’ébullition, les différents produits obtenus sont :

v Gaz (le point d’ébullition est plus bas)

v Essence (pour les véhicules à essence)

v Kérosène (pour les avions)

v Pétrole chauffé (pour les lampes à pétrole)

v Fuel (pour les chaudières)

v Gazole (pour les véhicules diesels ou mazout, camions)

v Lubrifiants (sert à refroidir les métaux)

v Asphalte (un point d’ébullition élevée, pour les routes)

3.     LE GAZ NATUREL :

Le gaz naturel est un combustible fossile composé d’un mélange d’hydrocarbures présents naturellement dans des  roches poreuses sous forme gazeuse. Il existe plusieurs sortes de gaz naturel, se distinguant par leur origine, leur composition et le type de réservoirs dans lesquels ils se trouvent .Néanmoins, le gaz naturel est toujours composé principalement de méthane et issu de la désagrégation d’anciens organismes vivants.

Types de gaz naturel :

§  Gaz conventionnel non associé : c’est la forme la plus exploitée de gaz naturel, son processus de formation est similaire à celui du pétrole.

§  Gaz associé : Il s’agit de gaz présent en solution dans le pétrole.

§  Gaz biogénique : Le gaz biogénique est issu de la fermentation par des bactéries de sédiment organiques.

§  Gaz de charbon : (Gaz de couche et grisou) Le charbon contient naturellement du méthane et des dioxydes de carbone dans ses pores. Historiquement, ce gaz a surtout été connu pour la menace mortelle qu’il présente sur la sécurité des mineurs, il est alors resté dans la mémoire collective sous le nom de grisou.

§  Gaz de schiste : Certains schistes contiennent du méthane issu de la dégradation du kérogène présent dans les schistes et piégé dans ses feuillets et microfissures.



                                         En bref, les combustibles fossiles proviennent des restes organiques (animaux et végétaux). La nature a mis  de millions d’années pour synthétiser  ces combustibles grâce à l’énergie solaire qui a été stockée par la biomasse. Signalons que la consommation énergétique mondiale est dominée par les combustibles fossiles qui représentent environ 80% de l’énergie primaire commerciale consommée. Le gaz naturel est en grande partie constitué du méthane (70 à95%). Le méthane contient un atome de carbone pour quatre hydrogènes, par conséquent le gaz naturel émet moins de dioxyde de carbone (co2) lors de sa combustion que le pétrole et le charbon. Le pétrole contient en moyenne deux atomes de carbone pour quatre hydrogènes et le charbon quant a lui  quatre atomes de carbone pour quatre hydrogènes, d’ où nous remarquons que le charbon est malheureusement la source énergétique la plus polluante suivie du pétrole.  


Auteur:  (KABWE WAKUSELWA), ILUNGA WA NGOIE OLIVIER, KABACHWEZI KABASEKE, KABANGE BANZA, KABANGE NGOY KYABU, KABANGE NSHIMBA, KABANSHI KUNDA, KABILA NTALAJA, KAJ KABANGU, KAKUMBA KUNDA, Lumbumbashi 24 Aout 2014

ACTIVITÉS A LA FACULTÉ DES SCIENCES

                    ACTIVITÉS A LA FACULTÉ DES SCIENCES

Commençons tout d’abord à dire un mot sur l’université :
  L’université de Lubumbashi ; UNILU en sigle ,deuxième institution universitaire de la république démocratique du Congo après l’UNIKIN ; organise  comme tout autre cadre universitaire plusieurs facultés et écoles, dont fait partie la faculté des sciences. L’Unilu organise les études en deux cycles soit 3ans de graduat et 2ans de licence pour tous les étudiants qui y sont inscrit. Depuis la réforme éducationnelle adoptée par les dirigeants Africains sous le modèle européen pour une Afrique encore plus prospère qui se base sur le système LMD en vue d’aider les étudiants Africains a mieux prospérer dans leur parcours scientifique. L’Université de Lubumbashi n’est pas resté indifférente suite à cette réforme et adoptant d’elle-même le système LMD de prime à bord pour les facultés ci-après pour l’année académique 2013-2014 : 
-faculté des sciences ;
-faculté polytechnique ;
-faculté des sciences agronomiques ;
-école supérieur des ingénieurs industriels, et
-école de criminologie.
        Il s’avère nécessaire de dire un mot sur l’organisation du système LMD et de ses avantages par rapport à l’ancien système observé à l’Unilu.Le système LMD s’organise quant à lui de manière suivante:
-3 ans de licence pour être déclarer licencié dans un domaine précis contrairement à 5 ans dans l’ancien système.
-2 ans pour décrocher le diplôme de master ; contrairement à 7ans dans l’ancien système.et enfin
-le doctorat selon le temps que prendra la recherche sur l’élaboration de la thèse
    Comme avantage :
Les années d’études sont réduites et les étudiants ont la possibilité de passer de promotions avec des cours de compléments lorsqu’ils ont atteint au moins le minimum requis qui est de 60% tout en ne satisfaisant pas à certains cours. Cela concourt ainsi à un taux élevés des cadres qui peuvent par leur perceptive apporté un pas de plus à la ccroissance que l’Afrique veut de son peuple. La grande question qui se pose est celle-ci :est-ce que les diplômés issus de LMD serons-t- ils en même d’être à la hauteur que leurs ainés de l’ancien système où il fallait 5 bonnes années pour arracher un titre d’équivalence entre ces deux systèmes ! Est-ce que les étudiants serons capable de bien assimiler les cours ? A vous de donner votre avis vis-à-vis de ce cas échéant.
    Essayons à présent de nous focalisés plus sur la faculté des sciences
La facules des sciences comprend des départements dont : la géologie, la chimie ,la géographie et la mathématique informatique. Dans notre cas nous allons plus nous focalisés sur le département de  géologie qui à son tour divisée en filières.Pour les activités de 2013-2014 pour les étudiants de Bac 1 il y’ a eu sur le plan scientifique quelque sortie de terrain dans le cadre de la géologie générale avec une nécessité pour chaque étudiant d’avoir un marteau et une boussole pour être présent à toutes les sorties de terrains comme l’exige le programme. Ces sortie nous ont conduit tout d’abord à la résidence du Recteur sur l’avenue Kilwa où il était question d’apprendre aux futurs géologue comment prendre quelques mesure sur terrain et comment se servir de sa boussole dans la localisation des lieux. La deuxième sortie nous  conduit à Matra sur la route Kipushi; où il était question de calculer le pendage et de trouver l’azimute pour chaque point quelconque. IL y a eu également des manipulation de base en chimie générale et inorganique où nous avons par exemple produit l’eau de javel sans oublié les manipulations d’informatique qui nous ont plus aider dans le  mode de texte(Word et Excel), dans la programmation et dans les performances encore plus meilleures(blogger par exemple). Pour ce qui est des activités culturelle disons que le Cercle Culturel Univers(CCU) n’as pas vraiment été au niveau attendu par les étudiants malgré l’organisation de quelques conférences qui concernaient beaucoup plus les produits finis de la faculté . 


Auteur:  (KABWE WAKUSELWA), ILUNGA WA NGOIE OLIVIER, KABACHWEZI KABASEKE, KABANGE BANZA, KABANGE NGOY KYABU, KABANGE NSHIMBA, KABANSHI KUNDA, KABILA NTALAJA, KAJ KABANGU, KAKUMBA KUNDA, Lumbumbashi 24 Aout 2014

PERSPCEPTIVE SUR LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE APPLIQUÉE EN CHIMIE



  PERSPECTIVE SUR LA MÉTHODE SCIENTIFIQUE APPLIQUÉE EN CHIMIE


          
        La chimie est une science expérimentale qui se fonde sur la méthode scientifique la quelle méthode consiste essentiellement à trouver une réponse aux questions scientifiques grâce à des expériences soigneusement planifiées et exécutées .Pour arriver à tirer profit de la méthode scientifique il nous faut tout d’abord définir notre objectif c’est-à-dire que nous devons préalablement formuler la question à laquelle nous devons répondre .

       Après avoir défini notre objectif, nous serons amenés à récolter des informations ou des données à propos du problème tout en envisageant les données que nous obtenons qui soient de deux types :

1) les données qualitatives qui consistent sans doute en des observations de nature descriptive et

2) les données quantitatives qui consistent en des nombres issus d’opération de mesure.

Si nous recueillons suffisamment de données au sujet de notre problème ; nous serons alors en mesure de formuler une hypothèse.signalons également qu’une hypothèse est une proposition qui est avancée comme étant l’explication ou la prédiction possible d’une observation ou d’un phénomènes.Lorsque les hypothèses sont corroborées par un nombre suffisant d’observations expérimentales réalisées dans des conditions très diverses, il est alors possible d’élaborer des théories scientifiques.

 Pour tester la validité d’une hypothèse ; on réalise des expériences .si par conséquent celle-ci ne démontrent pas, c’est-à-dire que l’hypothèse est fausse, on poursuit l’expérimentation afin d’examiner si les résultats sont reproductibles. On souhaite en particulier vérifier la validité de la dite hypothèse dans diverses situations expérimentales .Après bon no ; nombre d’expériences, un modèle peut se dégager sous la forme d’une relation constante entre des phénomènes se réalisant dans les mêmes conditions.

         La formation concise de cette interconnexion est appelée une loi naturelle ou encore une loi scientifique .On remarque par qu’une loi résume les relations existantes entre diverses paramètres mais n’y apporte pas nécessairement d’explications. Dès l’instant où une loi ait été formulée, les scientifiques tentent de concevoir une théorie, c’est-à-dire un concept unificateur qui donne une explication harmonieuse de la loi issue des observations expérimentales.Et enfin, la théorie elle-même sera mis à l’épreuve, à la suite de quoi il advient qu’elle soit modifiée ; voire rejetée.  C’est ainsi que nous pouvons procéder pour bien établir les lois ou les principes dans un domaine scientifique.

     Nous pouvons par titre illustratif donné un exemple concret.

OBJECTIF

   Expliquer la quelle de l’eau chaude ou froide se congèle rapidement.

DONNÉES

1 l’eau ordinaire du robinet qui contient de l’air à l’état dissous

2 l’eau bouillie à 100° c

-l’air dissous est chassé au cours de l’ébullition ensuite il est chassé au cours de congélation.

CONSÉQUENCES

-la glace qui se forme à partir de l’eau bouillie est translucide tandis que celle qui provient de l’eau ordinaire est opaque à cause des poches d’air qui y sont piégés.

-la congélation de l’eau débute en surface et poursuit vers le fond.

-au cours de la congélation de l’eau ordinaire, l’air s’accumule à un niveau situé entre la glace déjà formée et le liquide sous-jacent.

-cette couche d’eau ainsi piégée gène le transfert de l’eau sous forme de vapeur, du liquide vers la couche de glace qui est située au-dessus de lui.

HYPOTHÈSE

    Étant donné que dans l’eau bouillie, l’air qui y était dissous a déjà été chassé, il n’apparaitra plus de couche d’air pour gêner le transfert de l’eau de la phase liquide. Dès lors, l’eau bouillie se congèlera plus rapidement que l’eau ordinaire du robinet.

EXPÉRIENCES

Poser deux verres en plastique, côte à côte dans un congélateur, l’un contenant de l’eau ordinaire du robinet. Examiner en suite les deux récipients heure par heure, afin de voir lequel sera le premier complètement congelé nous vous laissons le soin de découvrir le résultat

Auteur:  (KABWE WAKUSELWA), ILUNGA WA NGOIE OLIVIER, KABACHWEZI KABASEKE, KABANGE BANZA, KABANGE NGOY KYABU, KABANGE NSHIMBA, KABANSHI KUNDA, KABILA NTALAJA, KAJ KABANGU, KAKUMBA KUNDA, Lumbumbashi 24 Aout 2014
 

samedi 23 août 2014

TECTONIQUE DES PLAQUES

TECTONIQUE DES PLAQUES

La Terre sur laquelle nous vivons et telle qu’elle nous parait est une planète et éventuellement la seule vivante de tout le système solaire. Elle a commencée à être étudiée par les scientifiques il y a fort longtemps. Âgée d’environ 4.5GA elle est la principale matière d’étude de la géologie, vu que la compréhension de tout ce qui peut être dit sur sa nature est vague, son origine, son évolution,… la géologie a eu une place importante en sciences pour expliquer et explicité tous les détails qui peuvent prêter à confusion.
C’est juste pour question d’éclairage sur l’aspect extérieur de la terre qu’est rédigé cet article titré « Tectonique des plaques » à titre informatif bien que cette notion est trop vaste et demande d’assimiler bon nombre des leçons du cours de géologie générale. La terre à l’origine étant concentrée en un seul bloc, au fur et à mesure que les contraintes augmentèrent il eut dissociation entre les pôles : pole unique (Afrique et Amérique du sud)   « déplacement apparent et commun » jusqu’au Trias, «déplacement individualisé » à partir du Jurassique, dissociation actuel des pôles, donc on a le PANGEA (jusqu’à  250 MA) l’évolution du GONDWANA  (180 MA à l’actuel) et la situation actuelle.
La mobilité horizontal de la lithosphère a été argumentée et évaluée à partir d’observations géophysiques sur des échelles de temps de millions d’années (cinématique finie) et les mesures géodésiques (intervalle de temps plus cout et plus ou moins régulier) et actuellement le système le plus utilisé repose sur l’exploitation des satellites GPS (pour Global Positionnig Systèm) constitué d’un réseau de 24 satellites géo référencés.
La Terre comprend le noyau interne, le noyau externe, le manteau inférieur, le manteau supérieur et la croute terrestre dans laquelle on rencontre la lithosphère, qui sont les parties constitutives de la Terre et les mouvements internes qui s’y déroulent font à ce que les continents soient tels que nous les avons aujourd’hui comme stipulait le géophysicien A. WEGNER au début du 20e siècle en se basant sur la similitude des tracés côtiers ( cas de l’atlantique N,S), la répartition des restes d’organismes vivants ( fossiles ) et la correspondance des structures géologiques pour ses observations .
La question posée : « quel est le moteur de ces mouvements des plaques ? »
Les théories sont émises pour ça :
Théorie de la tectonique des plaques
Entre 1968 et 1971 deux physiciens J. MORGAN et X. le Pichon mettent au point la théorie de la tectonique des plaques basées sur une meilleure connaissance de la structure interne de la Terre ; planète vivante possédant des sources internes d’énergie impliquant des mouvements de matière à grande échelle notamment au niveau du manteau et du noyau externe. De là on a la manifestation de la dynamique interne de la Terre avec comme phénomène : les mouvements des masses continental, les séismes, le volcanisme ; qui mettent en jeu des énergies énormes permettant ainsi de réguler l’énergie interne de la Terre, l’empêchant ainsi de s’échauffé et à la longue de se volatilisé.
Les bases de cette théorie :
Depuis le 20e siècle on a assisté à un développement rapide de la géophysique sous-marine permettant une meilleure connaissance des domaines océaniques notamment la mise en service des bateaux sondes, des sous-marins et des bathyscapes
  

2 notions sont à la base de cette théorie : la notion des plaques et celle des fonds océaniques
La notion des plaques qui résulte de l’examen de la répartition des séismes à l’échelle mondiale qui donne une image précise de la surface de la Terre, constituée d’un certain nombre des plaques épaisses de 100 à 150 km donc de la croute et d’une partie du manteau supérieur ; on les appels plaques lithosphériques. Rigides inférieur ou égales à 1kbj et à leur périphérie se localisent et limitent les déformations de la partie externe de la Terre
Les limites : -limite supérieur = surface topographique
-limite inferieur = limite de fusion partielle du manteau appelé HLVZ (pour Higly Low Velocity Zone) ou zone de faible vitesse sismique
Les plaques lithosphériques sont continentales ou océaniques selon qu’elles portent les continents ou les océans et on en compte au total 12 grandes plaques lithosphériques à la surface de la Terre
Par ordre de taille  croissante on a :
Plaque                           Types             Vitesse de direction
       
Caraïbes                 Océanique                1cm/an NE
Cocos                     Océanique                5cm/an NE
Arabie                    Continentale            3cm/an NE
Philippines            Continentale             8cm/an W
Nazca                      Océanique                7cm/an E
Amérique du sud    Continentale              1cm/an N
Amérique du nord   Continentale             1cm/an W
Inde Australie          Continentale          7cm/an N
Antarctique              Océanique       Tourne sur elle-même
Afrique                   Continentale             2cm/an N
Eurasie                    Continentale           1cm/an E
pacifique                  Océanique             10cm/an NW
       


Les frontières entre les plaques
Les limites entre les plaques sont de 3 ordres :
-Divergentes : caractérisées par un mouvement d’écartement de deux plaques
-Convergentes : caractérisées par un mouvement de rapprochement de deux plaques
-Coulissantes : caractérisées par un mouvement de deux plaques
Leurs caractéristiques
-limites divergentes zones de création de la matière et correspondant aux Rides Médio-Océaniques (RMO) où les plaques océaniques sont accrétés et gagnent en surface
-limites convergentes, zones de destruction de la matière et correspond aux zones de subduction où les plaques océaniques perdent de leur surface en s’engloutissant dans le manteau sous une autre plaque. 2 cas peuvent être considérés : Marge continental active (M C A) et Plaque océanique plongeant sous une plaque continental (A I)
  zone de collision (Z C) où il s’agit d’effondrement entre 2 plaques continentales, elles vont se déformé vers le haut et créé ainsi des chaines de montagne.
-limites coulissantes : ici les plaques glissent l’une par rapport à l’autre et il n’y a ni création ni destruction de la matière. Ainsi nous avons les mouvements de plaques avec leurs vitesses de déplacement qui actuellement est suivit avec une extrême précision grâce aux GPS.
Signalons enfin que c’est grâce au paléomagnétisme que le PANGEA (supercontinent)   qui a commencé à se disloquer il y a environ 180 MA ; a été reconstitué et que fut découvert l’origine des RMO permettant de justifier constance du volume de la terre dès sa formation jusqu’à présent.

Auteur:  (KABWE WAKUSELWA), ILUNGA WA NGOIE OLIVIER, KABACHWEZI KABASEKE, KABANGE BANZA, KABANGE NGOY KYABU, KABANGE NSHIMBA, KABANSHI KUNDA, KABILA NTALAJA, KAJ KABANGU, KAKUMBA KUNDA, Lumbumbashi 24 Aout 2014

LA POLLUTION DUE AUX ACTIVITÉS HUMAINES

    LA POLLUTION DUE AUX ACTIVITÉS HUMAINES

  La pollution atmosphérique consiste en gaz, liquides ou solides présents dans la nature à des taux suffisamment élevés pour porter atteinte aux hommes et d’autres organismes ou matières qui soient dans l’atmosphérique. Étant donné que les polluants atmosphériques proviennent parfois des sources naturelles ,nous pouvons citer l’ exemple de l’éruption volcanique qui dégage de substances polluantes dans l’atmosphère.









 
 Les activités humaines et surtout industrielle restent les principales causes de la pollution atmosphérique et même environnementale.
 
 Chaque substance polluante ,signalons –le est active dans un cadre précis, dont certaines sont nocives quand elles précipitent et se déposent sur la terre ou dans les eaux de surface tandis que d’autres sont nocives quand elles changent la texture chimique de l’atmosphère .Pendant ces dernières décennies, on a enregistré une croissance rapide d’implantation des usines, car chaque pays veut dans cette évolution technologique avoir ses propres industries qui le ferait indépendant du point de vue économique et de relations bilatérales avec ses partenaires . 
 Mais hélas la grande question est que bon nombre de ces réalisateurs industriels ne savent pas les risques et les conséquences causées à l’atmosphère suit à toutes les activités bien qu’elles soient financièrement capitales pour la croissance de la population .Mais sachons-le que le premier à être menacé c’est l’homme lui-même parce qu’étant dans l’atmosphère il est totalement dépendant d’elle.
      Il s’avère maintenant important de donner un éclaircissement sur les substances polluantes majeures de l’atmosphère en énumérant quelques –uns :
 -l’acide sulfurique
 -le dioxyde de soufre
 -le dioxyde d’azote
-le méthane
             Cependant toutes les substances évoquées ci-haut sont toutes généraient par des activités industrielles qui dégagent chaque jour de millier de tonne de gaz dans l’atmosphère et qui soient défavorables à la respiration d’organismes vivants, et si elle est menacée, l’homme l’est aussi directement.  
Comme piste et solution il faudrait que les scientifiques dont nous faisons partie intensifient les recherches pour trouver d’autres substances qui réduiraient  le pourcentage de toutes ces substances chimiques, trouver également de nouvelles penthodes  et techniques de recyclage et l’implication de la communauté internationale et des grands organismes mondiaux s’avère nécessaire.

Auteur:  (KABWE WAKUSELWA), ILUNGA WA NGOIE OLIVIER, KABACHWEZI KABASEKE, KABANGE BANZA, KABANGE NGOY KYABU, KABANGE NSHIMBA, KABANSHI KUNDA, KABILA NTALAJA, KAJ KABANGU, KAKUMBA KUNDA, Lumbumbashi 24 Aout 2014